11 août 2014

Un petit geste ou un grand défi pour le livre québécois

Bonjour à tous,

Aujourd'hui, je fais du pouce sur deux initiatives d'auteurs qui ont éclos récemment, par un drôle d'adon qui n'est pas mal du tout.

D'abord, demain, c'est le 12 août, et le 12 août, on se joint au mouvement parti par Patrice Cazeault et on achète un livre québécois. Pourquoi? Parce qu'acheter le livre d'un auteur d'ici - et pas nécessairement un roman, ça peut être un livre de cuisine, un essai, une biographie, un livre sur le béton... - c'est encourager une culture vivante et diversifiée.

On parle souvent d'acheter local pour les aliments, les vêtements et tout le tralala. Et la culture dans tout ça? Loin de moi l'idée de prôner l'autarcie culturelle. Il faut être ouvert d'esprit. Et être ouvert, c'est aussi être ouvert à ce qui vient de chez-soi, ne pas rejeter les écrits d'ici juste parce qu'ils sont d'ici. La diversité du livre québécois est impressionnante. La diversité, sa cultive en l'arrosant, donc en achetant (ok, j'arrête avec la métaphore agroalimentaire avant de vilipender la monoculture).

D'ailleurs, comme exercice pour s'ouvrir à notre propre culture livresque, Dominic Bellavance a mis sur pied le Grand défi de la littérature québécoise. L'idée, c'est de ramasser le plus de points possibles en remplissant le plus de cases dans le fichier excel ou pdf. Ça nous force à sortir de nos zones de confort, à partir à la découverte, à faire des recherches... ou à demander à votre libraire préféré un coup de main, il est là pour ça!!!


Donc: le 12 août, achetez vos livres pour le défi de Dominic ;)




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