9 mars 2015

De l'état du cerveau quand on écrit.

Après un mois de mutisme, me revoilà!

Que s'est-il passé durant ce mois? Ai-je écrit comme une défoncée, lu à n'en plus finir jusqu'à oublier ce blogue?

Ben non. J'avais juste le cerveau à terre.
Que voulez-vous, février a beau être le mois le plus court, c'est aussi le plus long, surtout cette année! (imaginez s'il avait plus de 28 jours... aaah, année bissextile l'an prochain, gare à vous).

Ce n'est pas que je n'avais pas un petit peu de temps libre (30 à 45 minutes de temps à autre), mais voyez-vous, je ne me sentais même pas d'attaque pour profiter de ces quelques moments. J'aurais pu m'acharner, mais personnellement, quand je dois relire une phrase quatre fois pour la comprendre - et là, je ne parle pas du texte le plus complexe de l'univers - je me dis qu'essayer d'écrire, ça ne donnerait pas grand chose. Il y a une fatigue qui, en réalité, aide, car elle diminue ma capacité d'auto-censure (byebye filtre). Mais il y a un point où c'est juste de la bouillie, je regarde l'écran, ou la page, et je pars dans le vide, complètement zombie.

C'était l'état perpétuel de février.

Alors tranquillement, il faut redémarrer le cerveau. Comme quand on arrête le sport un temps, on reprend petit à petit. Avec un billet de blogue, par exemple.


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